Randonnée Co-Naître au camp Celtique de la Bure
Table d'Orientation et vue en direction de la pierre d'Appel
Le plateau sur lequel est installé l'oppidum du Camp Celtique de la Bure, est par endroits, une zône marécageuse négative, où nous nous sentons comme pompés"
Cette zône attire la foudre, comme en témoigne de nombreux arbres calcinés le long du chemin d'accès avant d'arriver aux remparts, de quoi diminuer la force des éventuels assaillants...
Nous gravissons l'ancien rampart de l'époque Celte
Les remparts celtes étaient formés de pierres
et de rondins de bois entre-croisés
La terrasse et sa muraille gallo-romaine s'ouvraient sur les chemins d'accès par des Poternes où se trouvaient toujours un gardien
Le site du Camp celtique était surtout consacré à la sidérurgie et à la forge
(la région abonde en limonite qui était utilisée comme minerai de fer )
Ci-après le maître de forge (avec tous ses outils à droite)
et sa femme à gauche (bas-relief découvert sur le site)
La sidérurgie et l'alimentation en eau des habitants du camp nécessitait des réserves comme en témoignent les nombreux bassins découverts sur le site :
Ici le "Bassin des Dianes"
Cette sortie fut aussi l'occasion d'un travail bio-énergétique
sous la conduite de Henri qui nous explique ici pourquoi
l'arbre qui pousse ici est penché de cette façon...
En fonction du quadrillage énergétique particulier à ce plateau
(réseau Curry et Hartmann) les arbres poussent dans toutes les directions
(6 troncs à partir d'une base commune ici)
Ci après : Stèle du Cheval-Poisson (2ème siècle)
C'est une divinité Gauloise, en partie cheval (à l'avant) avec une queue de poisson (à l'arrière) qui assure la survie de l'âme dans son voyage après la mort...
Les "Leuques" qui travaillaient le fer ici sur les rives de la haute vallée de la Meurthe, n'étaient qu'une des nombreuses tribus gauloises de la région :
(comme les Médiomatriques, les Triboques, les Rauraques...) vivant au contact de nos ancêtres ici au 1er siècle avant Jésus-Christ (poteau ci-après)